Boucherie

Je suis Marie-Laure Longueval, je travaille avec mon mari depuis 2000 mais je suis agricultrice depuis octobre 2019. Notre ferme se situe à Loon Plage, dans le Nord Pas-de-Calais, à 13 kilomètres de Dunkerque. Notre fierté est de travailler chaque jour à la ferme, dans laquelle se trouvent 300 brebis à l’année.

Les volailles sont chez Alexis L’Heraud du 1er jour jusque dans l’étal de Prise direct.

Il achète ses poussins à un couvoir situé dans le nord, de plus, il a un label nutritionnel qui est bleu blanc cœur.

Les volailles qui sortent de chez lui sont labellisés. C’est un label nutritionnel et environnemental. Il se doit de respecter un cahier des charges dans l’alimentation de ses volailles.

Ce qui lui manquait, c’est un label régional et maintenant il va avoir Saveur en Or.

Sa volaille est un produit de qualité car c’est un élevage libre. Il met un bâtiment pour les abriter et abriter la nourriture mais mes volailles font ce qu’elles veulent. Si elles veulent sortir elles sortent si elles veulent rentrer elles rentrent.

Alexis souhaite offrir de la transparence aux consommateurs, c’est-à-dire qu’ils peuvent savoir de où et comment est élevé la volaille. De plus, il souhaite On mettre du goût dans l’assiette.

Je propose une viande de qualité, tendre et généreuse. C’est parce que j’élève mes porcs avec le plus grand et en respect des bonnes pratiques de bien-être animale.

J’élève des porcs dans ma ferme tricentenaire. Je suis particulièrement rigoureux sur les pratiques d’élevage afin d’avoir des bêtes en pleine forme et ainsi pouvoir offrir une viande savoureuse et généreuse.

Je suis Guillaume Lavaquerie. Je travaille comme agriculteur au GAEC des terres neuves, dans la Somme (80) et suis associé à mon épouse Laure. Nous avons 85 vaches allaitantes qui demeurent sur une structure de 5 hectares. Je pratique dans mon exploitation une vente directe depuis plus de 10 ans. 

L’activité de la Guillaume Lavaquerie 

J’élève des vaches allaitantes qui sont de race Blonde d’Aquitaine. Mon troupeau bénéficie d’une nourriture saine, ce qui me permet de livrer un produit de qualité aux consommateurs. Il est important de savoir que mes vaches naissent et sont engraissées sur l’exploitation. 

J’ai décidé, il y a quelque temps, de convertir une partie de l’exploitation vers le bio. J’y cultive donc des céréales et des légumes tels que la carotte, la pomme de terre et les haricots verts. Je souhaite livrer un produit de qualité, c’est pourquoi le bio m’a paru être une bonne option. Ne plus utiliser de pesticide, c’est donner un bon produit tout en respectant l’environnement. 

Mon cœur de métier reste tout de même le bœuf : je fournis donc de la jeune vache blonde d’Aquitaine ainsi que du veaux. C’est d’ailleurs le produit que j’approvisionne dans les magasins Prise direct de Dainville et Péronne. La viande de boeuf est labelisée bleu blanc coeur. 

Une viande labelisée bleu blanc coeur 

Je produis une viande de boeuf labelisée bleu blanc coeur, ce qui est gage de qualité. Il est important pour moi de proposer des produits nobles aux consommateurs. 

Faire attention à l’environnement, c’est prendre soin de l’alimentation que je produis pour les consommateurs. Je souhaite mettre en avant la qualité des produits grâce à cette désignation, mais aussi à la partie bio de l’exploitation. Elle me permet de cultiver sans pesticide mais aussi de participer à l’économie locale, en faisant travailler des personnes pour le désherbage par exemple. Savoir qu’il est possible de consommer localement tout en ayant des produits de qualité, avec un impact limité, je trouve ça formidable !

J’élève mes volailles en respect des bonnes pratiques élevage pour offrir une viande tendre, généreuse et savoureuse.

J’élève mes volailles en respect des bonnes pratiques d’élevage pour pouvoir offrir une viande tendre et généreuse.

La santé et le bien-être de mes animaux sont ma priorité.

J’élève mes agneaux dans le respect des bonnes pratiques d’élevage et dans le plus grand soin.

C’est ce qui me permet d’offrir une viande bien rosée, savoureuse et tendre.

Je travaille dans une petite ferme familiale avicole où je m’occupe personnellement de mes volailles. Mes parents, eux-mêmes agriculteurs, m’ont transmis leur passion. Je me suis lancée dans cette aventure en 1998 en achetant une petite fermette, puis j’y ai construit des bâtiments autour.

Quand elles arrivent dans mon exploitation, mes volailles ont 1 jour et je m’en occupe moi-même. Je leur donne une alimentation à base de céréales et je leur ai construit un véritable parcours. Derrière chez moi j’ai planté un bois et des vergers. Cela leur permet de déambuler et de trouver des choses comme de l’herbe, du gravier et des insectes. C’est très important pour leur bien-être.

Aujourd’hui il faut jouer sur des petites exploitations. Car sinon cela devient impersonnelle. Cela reste un contact humain. L’agriculture, on arrive vers de très très grosses exploitations. C’est bien des jeunes qui se réinstallent pour faire perdurer certaines valeurs.

Mes volailles sont de qualité, je ne donne que celles provenant de mon exploitation à mes enfants.

Je souhaite rassurer nos consommateurs, les accompagner et de mettre tous les efforts nécessaires pour qu’ils perçoivent l’importance de manger de bons produits locaux. C’est fondamental.

Notre ferme est une ferme familiale qui existe depuis plusieurs générations.

Mon père a créé notre élevage de lapins dans les années 80 et j’ai rejoint mon père pour partager avec lui ma vision de l’élevage cunicole.

Pour favoriser le développement de lapins riches en saveurs, les animaux sont élevés durant 90 jours, soit une vingtaine de plus que dans l’élevage conventionnel. Ils sont nourris aux céréales, à la luzerne, aux pulpes de betterave, …

Nous utilisons des antibiotiques que lorsque c’est vraiment nécessaire. Ici, pas de traitement préventif à tout va : on reste très attentif à l’équilibre entre bien-être des animaux et qualité de la viande.